Chaque année, du 12 au 14 janvier, des millions de personnes issues des communautés amazighes célèbrent Yennayer, le Nouvel An berbère, qui marque le début du calendrier agraire.
Cette année, l’an 2975 s’ouvre, perpétuant ainsi une tradition millénaire riche en symboles et en célébrations.
Ces festivités, très populaires en Algérie, au Maroc, mais aussi en Tunisie, Libye, Égypte, et dans plusieurs pays du Sahel, comme le Mali et le Burkina Faso, sont une véritable ode à l’identité amazighe.
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Vêtus de leurs habits et bijoux traditionnels, les participants échangent des vœux et partagent des repas festifs au son de musiques et chants traditionnels. Cette fête reflète l’importance de la culture amazighe et son enracinement dans l’histoire.
Pour rappel, le mot « Yennayer » vient des termes berbères « yan » (le premier) et « ayyur » (mois), signifiant littéralement « le premier mois ». À travers cette célébration, les Amazighs réaffirment leur attachement à leurs racines et au patrimoine ancestral.
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