Sous François, les femmes ont occupé des positions plus visibles dans la gestion de l’Église, un pas important vers une égalité réelle.
Bien que le sacerdoce féminin ne soit pas sur la table, le pape a nommé plusieurs femmes à des postes clés dans la Curie romaine, comme à la Banque du Vatican, et a créé des commissions de réflexion pour encourager la participation des femmes à la gouvernance ecclésiale.
En 2016, il a également autorisé les femmes à diriger certains ministères dans les diocèses, une avancée significative, bien que certains estiment qu’il reste encore beaucoup à faire pour une égalité réelle.
Les discours du pape sur la féminité et la maternité ont souvent insisté sur l’importance des femmes dans la société, mais aussi dans l’Église, qui, selon lui, doit leur offrir davantage de responsabilités.
LIRE AUSSI : François et l’Afrique : un amour concret
Une voix pour le Sud global
François est devenu un défenseur acharné des pays en développement, dénonçant le « colonialisme économique » et l’exploitation des ressources naturelles. Il a réclamé à plusieurs reprises une redistribution des richesses mondiales et a pris position contre les inégalités économiques croissantes entre le Nord et le Sud.
Dans ses voyages en Amérique latine, en Afrique et en Asie, le pape a souvent fait le parallèle entre les souffrances des populations les plus pauvres et les politiques économiques des pays riches.
Il a insisté sur la nécessité de créer un monde plus solidaire et équitable, appelant à une conversion de la mentalité économique et politique dominante, fondée sur le profit au détriment du bien-être humain.
Views: 7
