Le premier décès humain attribué à la grippe aviaire a été confirmé aux États-Unis ce 6 janvier 2025.
La victime, un homme âgé de plus de 65 ans, est décédée en Louisiane après avoir contracté le virus H5N1 après des contacts rapprochés avec des volailles domestiques et des oiseaux sauvages.
Il avait été hospitalisé en décembre pour une infection respiratoire sévère, liée à une exposition à des volailles et oiseaux sauvages.
Selon les autorités, aucun cas de transmission interhumaine n’a été détecté à ce jour. À leurs dires, le risque pour la santé publique demeure faible, même si les professionnels exposés aux oiseaux ou aux animaux de ferme sont invités à renforcer les précautions sanitaires.
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Et pour cause, depuis plusieurs mois, une épidémie de grippe aviaire frappe durement les élevages américains, provoquant des millions de pertes animales.
Jusqu’à présent, 66 cas humains ont été signalés, dont la majorité sont bénins. cependant, s’inquiètent de récentes mutations génétiques du H5N1, qui pourraient faciliter une transmission accrue entre humains.
Bien que rares, les décès humains dus à la grippe aviaire sont surveillés de près, notamment en raison des risques de mutations pouvant faciliter la transmission interhumaine. Une vigilance accrue reste de mise.
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