En France, le président Emmanuel Macron a, lors d’une rencontre avec Volodymyr Zelensky à Paris, accusé son homologue russe, Vladimir Poutine, de faire obstacle aux efforts de paix en Ukraine.
« La Russie montre par ses actes sa volonté de guerre », a-t-il affirmé. Pour lui, les actions belliqueuses de Poutine sur le territoire ukrainien (l’intensification des frappes russes), sont la preuve que Moscou n’apporte « aucune réponse solide » aux propositions de cessez-le-feu.
C’était à l’occasion de la réunion de la « coalition des volontaires », une initiative qui vise à renforcer les garanties de sécurité européennes et à envisager un dispositif de surveillance d’une trêve.
Des son côté, Volodymyr Zelensky plaide pour l’envoi de forces européennes « capables de combattre » en Ukraine, une option rejetée par le Kremlin.
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Mais en parallèle, la France engage 2 milliards d’euros d’aide supplémentaires pour soutenir l’armée ukrainienne. Cependant, le président Emmanuel Macron insiste sur la nécessité de maintenir les sanctions contre Moscou, jugeant prématuré d’envisager leur levée.
Cette initiative européenne, coordonnée avec les États-Unis, a pour but de maintenir la pression sur la Russie, tout en excluant toute concession unilatérale. Toutefois, Vladimir Poutine reste inflexible et refuse tout compromis sur la surveillance occidentale d’un cessez-le-feu.
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