Une crise de confiance envers les femmes prend corps dans la société nigériane. Cet état de chose s’est accentué après les révélations de Smart DNA, un centre d’ADN basé à Lagos au Nigéria.
En effet, à en croire les données révélées par ce centre, 27% des tests ADN réalisés se sont avérés négatifs. En terme plus clair, les hommes nigérians sont régulièrement trompés par les femmes qui leur font des bébés dans le dos.
D’après les statistiques, plus d’un homme sur quatre testés n’était pas le père biologique de l’enfant don’t ils se croyaient le parent. La publication de ces données fait actuellement le buzz sur les réseaux sociaux.
Selon l’information rapportée par la presse nigériane, les statistiques objet de la publication concernent les tests de paternités réalisés entre juillet 2023 et juin 2024. Jetant ainsi des doutes sur la certitude de paternité au sein des couples nigérians.
Les médias précisent que 88,2 % des demandes de tests ADN ont été initiées par des hommes, contre seulement 11,8 % par des femmes.
A en croire les experts, ces chiffres illustrent un problème de confiance profondément enraciné dans de nombreux foyers nigérians. Ils suggèrent que la certitude de paternité soit devenue un sujet sensible, influencé par des soupçons et des incertitudes.
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