L’avenir du Prince Harry aux États-Unis fait une nouvelle fois la une des débats. Depuis son installation en Californie avec Meghan Markle en 2020, l’ancien membre de la famille royale britannique mène une vie censée être plus discrète.
Cependant, sa situation immigratoire, et notamment ses antécédents en matière de consommation de drogues illicites, refait surface au moment où la Heritage Foundation, un groupe conservateur, exhorte le gouvernement américain à publier ses dossiers d’immigration.
Le prince Harry, aujourd’hui âgé de 40 ans, s’est installé aux États-Unis pour élever ses enfants dans un environnement plus calme. Pourtant, son passé a ressurgi en 2023, lorsque la Heritage Foundation a déposé une plainte contre le Département de la sécurité intérieure après le rejet d’une demande d’accès à l’information.
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Le groupe estimait que les documents relatifs à l’immigration du prince constituaient un intérêt public majeur, notamment en raison de ses aveux concernant la consommation de drogues. Toutefois, la justice a statué en faveur de la confidentialité, rejetant la demande le 23 septembre 2023.
En octobre, un nouvel appel a été lancé par Samuel Dewey, avocat de la Heritage Foundation, pour annuler la décision. Il a souligné que la publication des dossiers permettrait au public de mieux comprendre le fonctionnement des autorités américaines dans l’exercice de leur pouvoir discrétionnaire.
Cet argument pourrait prendre de l’ampleur à la lumière du retour de Donald Trump à la tête du pays. En effet, l’ancien président avait déjà exprimé sa volonté d’expulser Harry si des irrégularités étaient découvertes dans ses documents d’immigration.
Le magnat de l’immobilier avait notamment évoqué l’idée de ne pas protéger Harry en raison de son implication dans des critiques publiques de la famille royale, en particulier à l’encontre de la défunte reine Elizabeth II.
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