Au-delà des considérations religieuses, les restrictions sur l’alcool sont souvent motivées par des préoccupations de santé publique.
Et cela, à juste titre parce que, la consommation excessive d’alcool est associée à de graves problèmes de santé et de société dont, les maladies du foie, la toxicomanie, les violences domestiques et les accidents de la route. Ces impacts font de l’alcool une substance strictement réglementée, voire interdite, dans certains pays.
Mais, si l’alcool est largement intégré aux pratiques sociales et culturelles à travers le monde, sa légalité varie en fonction de plusieurs facteurs. Dans les pays à majorité musulmane, il est souvent interdit pour des raisons religieuses (haram).
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Les interdictions sont particulièrement rigoureuses au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, où des pays comme la Libye, la Mauritanie, la Somalie et le Soudan prohibent complètement sa consommation.
Cependant, les politiques publiques de santé jouent également un rôle clé dans ces décisions. Par exemple, l’Afrique du Sud a temporairement interdit la vente d’alcool pendant la pandémie de COVID-19 pour réduire les hospitalisations liées à des incidents sous influence de l’alcool.
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