L’Afrique a été un pilier de la vision de François de l’Église universelle. Dès son élection, il a souligné l’importance de la solidarité avec ce continent, dont la richesse humaine et spirituelle est sous-estimée.
Ses voyages en Afrique, au-delà de leur dimension spirituelle, ont été de véritables appels à l’action pour la paix et la réconciliation.
Son premier grand voyage africain en 2015 a pris une tournure historique lorsqu’il a visité la République Centrafricaine en pleine guerre civile.
Malgré les mises en garde des gouvernements occidentaux, il a insisté pour maintenir sa visite à Bangui, soulignant sa solidarité avec un peuple meurtri par des conflits interreligieux et ethniques.
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Là, il a ouvert la première Porte sainte hors du Vatican, marquant l’importance de la réconciliation pour l’Afrique et la communauté catholique mondiale.
L’une des caractéristiques de ses visites en Afrique est l’accent mis sur le dialogue interreligieux.
À Nairobi, en 2015, il a rencontré des chefs musulmans pour promouvoir la tolérance et la coexistence pacifique.
En 2019, lors de son voyage au Maroc, il a signé une déclaration historique avec le grand imam d’Al-Azhar, un geste symbolique fort pour la paix interreligieuse.
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