Le Maroc, hôte de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) prévue du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026, s’engage à offrir un spectacle digne des attentes. Le royaume, fort de son expérience organisationnelle et de son amour pour le football, souhaite reproduire, voire surpasser, l’enthousiasme suscité par l’édition précédente en Côte d’Ivoire.
En effet, le tirage au sort des 24 équipes qualifiées réparties en quatre groupes de six, promettant des affrontements palpitants dès la phase de poules. Le Maroc, vainqueur de la CAN en 1976, débute dans un groupe à sa portée mais semé de pièges.
Les Lions de l’Atlas affronteront en match d’ouverture les Comores, surprenants premiers de leur groupe qualificatif devant la Tunisie. Suivront le Mali, habitué des phases finales, et la Zambie, championne d’Afrique en 2012.
« Le Maroc a le niveau pour aller loin, mais ses adversaires sont solides, notamment le Mali. La pression sera énorme pour les Lions de l’Atlas », a affirmé l’ancien international marocain Abdeslam Ouaddou.
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Mais pour Stefano Cusin, sélectionneur des Comores, l’objectif est clair. « Jouer le match d’ouverture face au pays organisateur est un défi immense, mais une opportunité extraordinaire », confie-t-il.
La Côte d’Ivoire, tenante du titre, est logée dans le groupe dit de la mort. Elle affrontera le Cameroun, le Gabon et le Mozambique. Toutefois, Idriss Diallo, président de la Fédération ivoirienne de football, reste confiant : « La Côte d’Ivoire et le Cameroun sont favoris sur le papier, mais la prudence est de mise. »
Les autres favoris, comme l’Algérie et l’Égypte, auront également fort à faire. Tandis que les Fennecs tentent de surmonter deux éditions décevantes, les Pharaons de Mohamed Salah espèrent décrocher un huitième titre face à une concurrence africaine australe redoutable.
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