Sous le pontificat de François, l’option préférentielle pour les pauvres est devenue un principe fondamental de son action pastorale.
Inspiré par la théologie de la libération, qui reconnaît les luttes des pauvres comme une question centrale de justice sociale, François ne cesse de rappeler que l’Église ne doit jamais se contenter d’un discours abstrait mais doit se rapprocher des réalités sociales et humaines des plus démunis.
Cette option a des ramifications profondes dans sa critique des systèmes économiques mondiaux et de l’individualisme qui gangrène les sociétés modernes.
François critique vertement les mécanismes de mondialisation qui alimentent les inégalités sociales.
LIRE AUSSI : Jorge Mario Bergoglio : d’un quartier de Buenos Aires au trône de Saint Pierre
Dans ses discours, il dénonce l’égoïsme des sociétés de consommation et plaide pour une économie qui mette l’humain au centre plutôt que le profit.
À travers ses actions, comme la visite régulière des hôpitaux, des prisons et des camps de réfugiés, François incarne cet engagement.
Sa visite en 2015 à Lampedusa, où il rend hommage aux migrants morts en mer, est l’un des symboles les plus poignants de son pontificat. C’est un appel vibrant à la solidarité et à l’ouverture envers ceux que la société tend à oublier.
Suivez-nous sur Nasuba Infos via notre canal WhatsApp. Cliquez ici.
Views: 0
