En Guinée, un élève a ouvert le feu ce mardi 11 mars 2025 au Lycée Sainte-Marie de Nongo, une école privée située en banlieue de Conakry, atteignant deux camarades.
Les victimes, un garçon et une fille, ont été touchées aux épaules et aux côtes, selon un communiqué officiel du ministre de l’Enseignement pré-universitaire et de l’Alphabétisation, Jean-Paul Cedy. Elles ont été prises en charge dans un hôpital public de la capitale.
L’auteur des tirs, armé d’une fabrication artisanale, a été rapidement neutralisé par les forces de l’ordre présentes. Une enquête a été ouverte pour comprendre les circonstances de cet acte violent, une première dans une école guinéenne.
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Face à cet événement inédit, les autorités ont renforcé la sécurité autour de l’établissement, désormais placé sous surveillance policière. Cette mesure vise à garantir la tranquillité de la communauté scolaire et à prévenir de nouvelles violences.
Pour l’heure, les motivations du jeune tireur restent inconnues, laissant la communauté éducative et les parents d’élèves dans l’inquiétude. Mais l’incident relance également le débat sur la prolifération des armes artisanales dans le pays et la sécurité dans les écoles.
Les autorités éducatives appellent à une vigilance accrue et à des actions rapides pour éviter que de tels drames ne se reproduisent. La communauté scolaire, encore sous le choc, attend des réponses claires et des mesures concrètes pour restaurer la confiance.
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