Au Bénin, la reprise du procès d’Olivier Boko, Oswald Homéky et de leurs coaccusés connaît un nouveau rebondissement.
Suite à la déconstitution de leurs avocats, la cour a décidé de nommer des avocats commis d’office pour garantir le droit à la défense.
Cette décision, annoncée lors de l’audience de ce mercredi 22 janvier 2025, vise à garantir le respect des droits fondamentaux des accusés à un procès équitable.
Le ministère public a rappelé à cette occasion, l’importance de poursuivre la procédure judiciaire tout en respectant les garanties légales offertes aux prévenus.
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Les nouveaux avocats disposent désormais d’un délai jusqu’au 23 janvier pour prendre connaissance des charges et élaborer une défense efficace.
Ce renvoi va leur permettre de collaborer avec leurs clients et de définir une stratégie juridique adaptée.
Cependant, cette situation reste délicate. Le temps limité imparti aux avocats commis d’office constitue un défi majeur, et les accusés pourraient encore décider de réintégrer leurs anciens conseils.
Une telle éventualité pourrait transformer la dynamique actuelle du procès et ajouter une dimension supplémentaire à une affaire déjà complexe.
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