Le Maroc confirme son statut de puissance africaine avec la signature d’un contrat monumental de 1,3 milliard de dollars pour la construction d’une “autoroute de l’électricité” entre l’Angola et la République Démocratique du Congo (RDC).
Ce projet stratégique, porté par le groupe marocain Somagec, marque un tournant majeur dans les infrastructures énergétiques du continent, à travers le modèle BOOT (Build-Own-Operate-Transfer).
La prouesse ? L’Angola ne débourse pas un centime. Financé par le privé, ce projet offre aux deux pays une infrastructure clé sans alourdir leur dette publique. Un modèle novateur, audacieux, qui démontre une nouvelle fois la capacité du Maroc à penser grand et à agir vite.
L’énergie comme levier d’intégration africaine
Cette “autoroute de l’électricité” n’est pas qu’un réseau de lignes à haute tension, c’est une véritable colonne vertébrale énergétique qui connecte des nations et alimente les économies. Elle illustre une ambition claire : renforcer l’interconnexion électrique africaine pour réduire la dépendance énergétique du continent.
Avec ce projet, le Maroc envoie un message fort :
• Nous n’attendons pas, nous innovons.
• Nous ne contribuons pas, nous menons.
• Nous ne promettons pas, nous livrons.
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Le leadership marocain en Afrique
Ce contrat s’inscrit dans une stratégie de long terme, portée par la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, qui place la coopération Sud-Sud au cœur de l’action diplomatique et économique du Royaume.
Depuis plus d’une décennie, le Maroc multiplie les investissements structurants à travers le continent, s’imposant dans des secteurs clés : infrastructures, énergies renouvelables, finance et agriculture.
Ce projet symbolise aussi une diplomatie économique efficace, fondée sur des partenariats gagnant-gagnant et un transfert d’expertise qui contribue au développement durable de l’Afrique.
Alors que certains pays peinent encore à poser les bases d’une véritable intégration régionale, le Maroc trace sa route – littéralement. Une route faite d’électrons, mais aussi d’ambition, de pragmatisme et de leadership.
Parce qu’en Afrique, le futur se construit maintenant. Et le Maroc est déjà en tête du peloton.
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