C’est officiel : le marché Ganhi a fait peau neuve ! Fini les étals en bois bancals, les parasols troués et la poussière en guise de décoration. Désormais, c’est un R+1 avec une structure moderne, des arbres à gogo, et un parapluie géant en guise de pièce maîtresse. Oui, vous avez bien lu : un parapluie central. Si ce n’est pas de la poésie architecturale, je ne sais pas ce que c’est.
Un parapluie pour protéger qui ?
Les fruits ? Les légumes ? Ou peut-être les ambitions politiques qui s’y négocient en douce ? Ce parapluie est si emblématique qu’on pourrait presque y voir une métaphore : protéger le marché des intempéries économiques ou des coups bas entre commerçants ? Reste à savoir si ce chef-d’œuvre résistera aux orages tropicaux et aux électeurs en colère.
Le paradis des étals et des parkings
Le Ganhi version 2.0, c’est aussi 700 étals, de quoi transformer chaque coin en une mini-ville marchande. Vous cherchez des légumes, du tissu, ou une lotion miracle pour cheveux ? Tout est là, organisé par secteur comme dans un supermarché. Et les parkings ? Ah, parlons-en : motos au sud, voitures sur les trois autres côtés. Pratique, sauf si votre moto décide de garer sa liberté ailleurs.
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Des toilettes et une garderie ? Sacrilège !
Les sceptiques diront que c’est du luxe inutile. Des toilettes propres dans un marché ?! Voilà qui va dérouter les habitués des “solutions naturelles”. Et une garderie ? Parfait pour déposer vos enfants pendant que vous négociez sur le prix d’une tomate. Encore un peu et on pourrait confondre Ganhi avec un centre commercial européen.
Des fast-foods et des maquis : entre burger et pâte d’arachide
Avec 20 restaurants, il y en aura pour tous les goûts. On imagine déjà les débats passionnés entre ceux qui préfèrent les brochettes de viande bien de chez nous et les aficionados du hamburger surgelé. Que voulez-vous ? Modernité oblige.
Un parapluie, un espoir ?
Reste à voir si cette nouvelle version du marché saura conquérir les cœurs – et les portefeuilles. Car derrière le parapluie, la question reste la même : les vendeurs et les clients retrouveront-ils leur équilibre dans ce décor flambant neuf ? En tout cas, avec toutes ces commodités, une chose est sûre : Ganhi est prêt pour son avenir… ou pour sa prochaine chronique.
À bientôt sous le parapluie !
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