Au Bénin, le décès ce jeudi 17 octobre à Paris en France, du Général François Kouyami, âgé de 82 ans, marque la fin d’une époque importante pour le pays.
L’homme laisse derrière lui, un héritage significatif, dont sa contribution à la stabilité et au développement du Bénin à travers une carrière qui s’est déroulée sur plusieurs décennies, notamment pendant les périodes de bouleversements politiques majeurs.
François Kouyami a été une figure influente dès le coup d’État du 26 octobre 1972, qui a marqué l’avènement du régime révolutionnaire au Bénin.
En tant que directeur de la sûreté nationale, il a joué un rôle clé dans la gestion de la sécurité du pays.
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Par la suite, son engagement dans le gouvernement s’est consolidé avec des postes ministériels importants, notamment au ministère de la Fonction publique et au ministère de la Jeunesse, de la Culture populaire et des Sports.
Ces fonctions lui ont permis d’avoir un impact durable sur la jeunesse et la culture béninoise.
En tant que directeur de la gendarmerie nationale sous le régime de Nicéphore Soglo, Kouyami a renforcé son influence dans les domaines de la sécurité intérieure.
Sa promotion au rang de général de brigade en 1996 symbolise la reconnaissance de son engagement et de ses compétences.
Son parcours illustre les défis de gouvernance dans un pays en transition, et son héritage continuera d’inspirer ceux qui l’ont côtoyé et ceux qui se souviennent des réformes qu’il a initiées.
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