En France, la tombe de Jean-Marie Le Pen, fondateur du parti de l’extrême-droite (Front national), a été vandalisée au cimetière de La Trinité-sur-Mer, dans le Morbihan. L’information, rapportée par la chaîne France 3, a suscité une vague de réactions.
Décédé le 7 janvier 2025 à l’âge de 96 ans, l’ancien dirigeant du Front National avait été inhumé dans ce village breton. Selon des sources locales, la pierre tombale a été cassée à la masse, laissant des dégâts significatifs. Les auteurs de cet acte n’ont pour l’instant pas été identifiés.
Suite à cet incident, une enquête a été ouverte afin d’identifier les responsables. Les forces de l’ordre ont commencé à recueillir des témoignages et à analyser les éventuels indices laissés sur place.
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« Le respect des morts, c’est sacré. Cet acte est inacceptable », a réagi Gilles Pennelle, député européen. Ce sentiment est partagé par d’autres personnalités politiques, qui condamnent unanimement cette atteinte à la mémoire d’un défunt.
Jean-Marie Le Pen, qui avait fondé le Front National en 1972, reste une figure clivante dans l’histoire politique française. Alors que certains saluent son rôle dans la vie publique, d’autres dénoncent son discours, souvent jugé provocateur et diviseur.
Ces divergences étaient apparentes dès l’annonce de sa mort, avec des manifestations célébrant sa disparition dans plusieurs villes françaises.
L’enquête en cours devra déterminer les circonstances de cette profanation et identifier les motivations des coupables.
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