À l’approche de l’annonce des 30 nommés pour le Ballon d’Or 2025, prévue ce 7 août, le suspense est total. Aucun favori évident ne se détache dans une saison sans grande compétition internationale. Mais c’est surtout un changement discret dans le mode d’évaluation des joueurs qui alimente les débats.
Cette année, aucun Euro ni Copa América, aucune Coupe du Monde pour trancher. En lieu et place, une saison de clubs où les performances se sont multipliées sans produire de consensus clair. Et pour corser l’exercice, un nouveau regard porté sur l’impact collectif des joueurs vient modifier les codes de sélection.
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Fini le tout-à-l’ego ? Peut-être. Désormais, le Ballon d’Or veut récompenser non seulement les statistiques, mais aussi l’influence réelle d’un joueur sur le collectif.
Cette nouvelle approche pourrait faire mal aux candidats habitués à briller seuls. À l’inverse, les éléments stratégiques, parfois dans l’ombre, pourraient enfin voir leur contribution reconnue. Une évolution que le classement final permettra de confirmer… ou non.
Du côté des favoris, les débats sont ouverts. Ousmane Dembélé semble recueillir un large soutien en ligne, salué pour son impact dans les grands rendez-vous. D’autres regards se tournent vers Lamine Yamal, la révélation espagnole, ou Achraf Hakimi, toujours aussi régulier au PSG.
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