« Personne ne pensait que c’était possible. On m’a dit que c’est impossible », a déclaré Donald Trump. Il a cité notamment les tensions entre le Cambodge et la Thaïlande, le Kosovo et la Serbie, la RDC et le Rwanda, le Pakistan et l’Inde, Israël et l’Iran, l’Égypte et l’Éthiopie, ainsi que l’Arménie et l’Azerbaïdjan.
Donald Trump a insisté sur le fait qu’aucun autre dirigeant mondial n’avait réussi une telle démarche dans un laps de temps aussi court. « Tous ces pays étaient concernés. Aucun président, aucun Premier ministre, aucun pays au monde n’avait jamais fait une chose pareille. Je l’ai fait en l’espace de sept mois. C’est du jamais vu », a-t-il ajouté.
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Le chef de la Maison Blanche a également critiqué l’ONU pour son rôle dans la résolution de ces conflits. « J’ai dû mettre fin à ces guerres alors que j’aurais préféré que l’ONU le fasse… Les Nations Unies n’ont même pas essayé d’aider à résoudre ces conflits. Je me suis entretenu avec les dirigeants de tous ces pays et je n’ai reçu aucun coup de téléphone de l’ONU », a-t-il précisé.
Si ces déclarations mettent en avant son rôle diplomatique, elles n’ont pas été confirmées de manière indépendante par les Nations Unies ou par les gouvernements des pays concernés. Néanmoins, elles soulignent la volonté de Donald Trump de présenter son influence internationale comme exceptionnelle et historique.
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