Donald Trump a atterri ce lundi 13 octobre à Tel-Aviv, dans un climat d’attente et d’émotion. Son arrivée coïncide avec la mise en œuvre du premier volet du plan américain de cessez-le-feu à Gaza. Celui-ci prévoit la libération de 48 otages israéliens, vivants ou morts, en échange de près de 2 000 prisonniers palestiniens.
Ce geste, qualifié de “moment historique” par Washington, marque un début de désescalade après des mois de guerre. L’Union européenne s’est dite “satisfaite de cette avancée rendue possible par le président Trump”, tout en tempérant l’optimisme ambiant. “Assurer la paix à Gaza sera extrêmement compliqué”, a averti la cheffe de la diplomatie européenne.
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Sur le terrain, l’émotion domine. Familles, journalistes et diplomates se pressent à l’aéroport de Tel-Aviv, où les premiers otages doivent arriver sous haute sécurité. Mais au-delà de la joie des retrouvailles, les défis demeurent immenses : rétablir la confiance, sécuriser les zones civiles et rouvrir le dialogue entre Israël et le Hamas.
Cette première libération n’est qu’une étape. Reste à savoir si elle amorcera réellement un tournant vers la paix ou si elle ne sera qu’une trêve fragile dans un conflit qui, depuis trop longtemps, défie toute solution durable.
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